Finalement la solution technique retenue est la suivante,
Notre plaque (en bois), sous laquelle sont fixés des blocs de mousses, des ressorts et une tige verticale, serait placé au-dessus d’une boite. Lorsque un piéton marche sur la plaque, les ressorts se tassent et les blocs de moussent viennent s’appuyer sur les capteurs piézoélectriques et les déformer, ce qui créé une première énergie électrique. Si le piéton est suffisamment lourd et que les ressorts se tassent assez, la tige verticale de la plaque vient appuyer sur l’axe et entraîner sa rotation. Cette rotation de l’axe, relié au pédalier, entraîne, via une chaîne, la rotation d’une roue (même principe qu’un pédalier de vélo) ce qui permettra de créer une seconde source d’énergie.
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